Le roman

                                                                                                              

 

La dernière voie de Nimbus

Présentation

  Cirrus dispose d’un an pour se préparer à l’ascension en solitaire de la voie Ravier, au redoutable Tozal del Mallo. À une exception près, ceux qui le connaissent lui dénient la capacité de mener à bien un exploit réservé aux grimpeurs les plus chevronnés. Dans le cercle qui l’a initié à l’alpinisme un doute s’installe, parfois malveillant, sur sa détermination réelle comme sur les raisons profondes qui le poussent à s’engager dans une aventure aussi risquée. En réaction, Cirrus s’isole et s’apprête, avec l’aide d’un impitoyable mentor, à tenir coûte que coûte une promesse faite à son ami le plus cher. Alors que va s’achever le délai imparti, un évènement imprévu survient ...

  La dernière voie de Nimbus relate deux années de la vie de Cirrus, un jeune Cibourien venu s’installer après une déception sentimentale dans la petite de ville de Luchon. Il découvre les Pyrénées, est initié à l’alpinisme, franchit le seuil des vingt ans, connaît un grand amour, fait une promesse qui engage sa vie, éprouve la solitude au milieu de tous et s’inquiète - non pas intellectuellement mais en mettant sa vie en jeu - de la possibilité d’être à la fois mort et vivant, comme l’est ce sacré chat de Schrödinger qui n’a de cesse de le fixer de son regard et de l’interroger sur le sens de l’existence. 

   Un roman de montagne ? Il en a certes des attributs. Mais j’ai la faiblesse de lui trouver des dimensions éthiques et poétiques qui devraient lui permettre (comme d’ailleurs à nombre d’œuvres de ce genre littéraire où les valeurs humaines sont très marquées), d’atteindre un public bien plus vaste que celui des seuls grimpeurs. 


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